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XVIIIème - XXème siécle|
Architecture|
Plan du château|
Stratigraphie du site|
Seigneurie de Montmorin|
Généalogie|
Le blason Le corps de garde  Le bâtiment adossé à l'enceinte est renforcé extérieurement par des contreforts destinés à aider les murs à supporter le poids des voutes en berceau élevées au rez-de-chaussée. Un toit à un seul pan protège l'édifice, permettant de recueillir l'eau de pluie dans une seule rangée de chenaux en pierre soutenus par des corbeaux.Au rez-de-chaussée, se trouvent les écuries : on voit encore dans la voute des trous destinés à recevoir des poutres qui délimitaient les stalles des chevaux, et le sol est simplement pavé. La pièce contigüe était certainement l'endroit où se tenaient le plus souvent les gardes. L'escalier en pierres à l'extérieur permettant de monter à l'étage date de la Renaissance. Auparavant un accès était possible avec une échelle par une trappe située dans la petite tour de l'écurie, selon le système de défense médiévale qui visait à empêcher un accès trop aisé à tout le château. La fonction des deux salles de l'étage est mal définie. Peut-être s'agissait-il de greniers et plus tard de logements pour les domestiques ou les gardes. Dans ces deux pièces, le mur ouest comprend des corbeaux qui supportent l'élargissement du chemin de ronde. En effet, celui-ci, très ancien, s'étend sur l'épaisseur du mur et déborde à l'intérieur. Il est actuellement possible d'emprunter ce chemin de ronde de la première à la troisième tour, en passant à côté des machicoulis. De la première tour (située au sud-ouest), le chemin de ronde se continue : une trappe puis un demi-escalier et une échelle permettaient de rejoindre le premier étage de cette tour, puis le chemin de ronde du côté sud du château. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 |
